Après un bon weekend en tête à tête improvisé suite à mon mal être de la semaine, la déchirure. C’est dimanche soir, l’heure de la séparation pour elle et moi, l’heure des retrouvailles pour mon fils et moi…
Elle n’a pas envie de partir, moi non plus. Elle repousse pour faire une bise à Zouzou, qui est heureux de la trouver chez nous, mais il faut y aller…
Il l’embrasse, lui glisse à l’oreille qu’il ne veut pas qu’elle parte. Les larmes montent, la voix s’étrangle, les pleures jaillissent.
Elle est désemparée, et part le cœur gros, très gros. Un mélange d’amour, de colère, de compréhension émane d’elle.
Moi, je culpabilise. Je sais que trois cœurs (voir quatre) souffrent de mon état d’esprit, de mes envies, de mes questions.